Maman,
J’aimerais que tu comprennes que les jeux vidéo sont une passion comme une autre. Je sens constamment que tu n’apprécies pas cet hobby et c’est l’une des raisons pourquoi j’ai autant de difficulté à m’ouvrir à toi. J’ai l’impression que tu juges ma passion et ça me gêne de t’en parler, ce qui augmente le fossé entre nous deux.
Papa,
Je n’ai pas envie de te parler de mes jeux lorsque tu me poses des questions, car je ne sens pas que ton intérêt est sincère. Lorsque tu m’observes jouer, j’ai l’impression que tu détestes mon passe-temps. Au lieu de me faire un interrogatoire sur mes heures passées à gamer, j’aimerais avoir une discussion avec toi sur les aspects de mes jeux comme les histoires, les personnages, les façons de gagner, etc.
Maman, papa,
J’aimerais que vous cessiez de penser que les jeux vidéo sont inutiles. En critiquant sans arrêt mon hobby, je n’ai pas le goût de passer du temps avec vous. Les jeux vidéo sont un environnement pour moi où je m’amuse avec des amis. Mes semaines sont déjà bien remplies où j’apprend plein de compétences au badminton, j’étudie pour avoir de bonnes notes et je me développe à travers mes interactions à l’école.
J’utilise le jeu pour m’évader, pour lâcher prise et déconnecter de la pression que je ressens à performer partout. D’autres jeunes le font en passant des heures devant Instagram, Netflix ou Tik Tok, sans se faire critiquer comme moi. En plus, les opportunités de carrières dans le domaine des jeux vidéo sont en pleine croissance, ce n’est donc pas un passe-temps qui ne mène à rien.
J’aimerais aussi qu’on établisse ensemble mes limites de temps de jeu.
Je comprends qu’on a des intérêts opposés, mais je suis certain qu’on pourrait trouver un terrain commun raisonnable pour encadrer ma passion. Lorsque vous établissez constamment des mesures pour restreindre mon temps de jeu, ça ne fait qu’augmenter mon désir de jouer.
En trouvant plutôt des solutions ensemble, je me sentirais compris et que vous avez bien mes intérêts à cœur.
-Votre fils qui aimerait lui aussi que la situation s’améliore.
Créer le service dont j'aurais eu besoin à ce moment-là
La lettre ci-dessus aurait pu être écrite par tous les mentors et tous les mentorés qui font partie de la famille du Gamer Mentor.
Adolescent, mes parents détestaient me voir jouer aux jeux vidéo :
- « Ça sert à rien! »
- « Qu’est-ce que tu aimes là-dedans? »
- « Pourquoi tu aimes ça ces bonhommes-là? »
15 ans plus tard, c’est le même refrain que j’entends. Les jeux ont beaucoup évolué, mais les parents et les adolescents n’ont pas plus de ressources pour les aider à trouver un équilibre sain.
Avec Le Gamer Mentor, j’ai voulu créer le service dont j’aurais eu besoin.
Dont mes parents auraient eu besoin.
Je souhaite offrir aux jeunes des modèles positifs de gaming qui leur montrent que d’avoir des saines habitudes de vie va les aider à progresser.
Je souhaite offrir aux parents des réponses et du contenu non anxiogène pour les aider à comprendre un peu plus la réalité de leur jeune.
Je souhaite développer des projets dans les écoles pour que le jeu vidéo soit un moteur de réussite.
Bref, avec notre programme, on jumelle jeux vidéo, santé mentale, saines habitudes de vie et amélioration des relations familiales!
Vous pouvez même lire cet article d’une maman qui a essayé notre programme pour savoir ce qu’elle en pense!
– Mathieu